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le prisonnier
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18 janvier 2006

Brise d’été

Tapi à l’ombre des taillis, je scrutais depuis plusieurs jours un endroit de verdure, rendu idyllique, par ta venue régulière en quête d’une sieste journalière.

Je t’ai découverte allongée sur un tapis de mousse endormie sous un chêne, le soleil filtré par les feuillages chauffait tièdement ton corps vêtu d’une robe légère, q’une douce brise soulevait de temps en temps en laissant apparaître à mes yeux émerveillés les courbures de tes jambes, éveillant en moi l’imagination d’un grain de peau soyeux, au goût suave.

Je décidais de m’approcher de toi, doucement, avec prudence je rampais les quelques mètres qui nous séparaient, plus j’avançai et plus ton parfum m’arrivait porté par cette brise, j’étais maintenant à quelques centimètres de tes pieds nus, tu étais sur le coté et je voyait le galbe de tes hanches et ta poitrine encore prisonnière d’une dentelle fine se levait et retombait au rythme de ta respiration.

Figé par tant de beauté, je restais là comme paralysé, pris entre l’envie de humer ton corps, n’enivrer de son parfume et l’envie de te laisser ainsi endormie. Situation extrêmement sensuelle, m’as-tu entendu venir, m’as senti près de toi, je ne sait pas, mais comme pour répondre à mon désir, tu t’es retourner sur le dos, les mains au dessus de ta tête, une jambe légèrement repliée, dévoilant entièrement une de tes cuisse et laissant apparaître une infime parcelle de dentelle blanche renfermant l’objet de mes fantasmes.

Ni tenant plus, j’osai aventurer une main fébrile vers toi, avec dextérité entre mes doigts je faisait sauter un à un les boutons de ta robe, pour découvrir ce corps tant convoité, mon geste fût récompensé par une découverte inespérée, aucun morceau de tissu ne couvait tes seins, magnifique poitrine aux auréoles roses, dont les bouts pointaient vers le ciel. Cette image, me faisait penser à un tableau de Monet.

Je me penchais vers toi, couvrant ton corps de mon ombre, promenant mon nez au dessus de chaque parcelle de ta peau, humant ce parfum, augmentant mon envie de te toucher, d’effleurer, te caresser.

Alors avec retenu, je déposait au creux de ton cou, un tendre baiser, à ce contact un frison me parcouru, impossible de décoller mes lèvres de ta peau, sans réfléchir j’entamais un parcours charnel, descendant ma bouche le long de ton corps, me délectant tendrement du goût de tes seins, de ton ventre, de tes hanches, de tes cuisses, de tes mollets, de tes pieds, remontant par le même chemin, jusqu’à ce petit carré de soie, dernière barrière entre mes lèvres et les tiennes.

Je sentais se poser sur ma tête tes mains, m’indiquant en silence que ton corps s’offrait enfin à moi.

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Commentaires
J
tu as de l avance sur les saisons ... une petite brise qui souffle pour apaiser la chaleur estivale..un tableau tres campagnard qui me convient a ravir... une sieste sur un morceau de tissu etale a meme l herbe ... des paupieres lourdes..je m endors...je sens l air embaume d effluves agreables... ton souffle ? celui du vent ? je ne saurai le dire ..le vent qui souleve le tissu de ma jupe legere..un chemisier blanc entreouvert...et puis sans que je le sache tu t approches de moi... tes mains sont a 2cm de ma peau...et redessinent les courbes et les creux de mon corps sans toutefopis les toucher ni meme les effleurer... je suis allongee sur le dos;.la tete sur le cote... les jambes legerement repliees... mais la jupe deja a mi cuisses pour sentir l air qui caresse ma peau...la peau halee et sentant bon le soleil... un sourire qui se dessine sur mes levres et la tu ne peux resister a l envie de les effleurer avec les tiennes..elles sont douces parfumees et si gourmandes a d autres occasions ...<br /> cette douceur de gourmandise me fait penser que je suis peut etre dans un reve... la brise souffle toujours mais ce n est pas elle qui fait remonter ma jupe ou s entre ouvrir mon chemisier si macule... ce sont des effleurements si doux si legers que je pourrai les confondre avec un souffle d air...serais tu attire par ce qui se cache sous ces vetements qui ne semblent plus faire obstacle a tes mains a presnet... aurais tu entre percu ce morceau de dentelle blanche sous ma jup et qui semble t aimanter ...pour t approcher davantage ...je sens des doigts m effleureur legerement les cuisses..la jupe remonte remonte remonte..je garde les yeux fermes pour savourer ces doux moments... pensant etre encore ans mes songes... <br /> inconsciamment j ecrate legerement mes cuisses pour te faire miroiter ce que tu sembles convoiter... et j ai tres envie que tu t en accapares...je sens maintenant tes doigts effleurer ce tissu si fin que je pourrai te dire qu ils sont au nombre de 3... mais ce tissu n est plus un obstacle ... ce tissu ne demande qu a etre ecartee... mes cuisses s entrouvent davantage ... et t incitent a appuyer tes caresses ...plus de rempart plus d obstacle a tes envies meme si elles sont des plus inavouables... le tissu qui s ecarte..tes doigts si imaptients qui me prodiguent de douces caresses a la limite de mon intimite;.si douce..et si humide deja... ton regard qui assiste a ce spectacle si troublant...envie que tu continues..plus loin dans tes eflleurements..dans tes attouchements ...envie que tu me decouvres si feminine ...si femme... envie de me reveler a toi...a ton regard..a tes doigts..a ta bouche ...envie de te rendre attentif a mon desir a mon plaisir... envie d apprecier tes baisers sous toutes ses formes... envie d accueillir tes caresses les plus subtiles ..les plus intimes les plus osees...sans retenue...envie de me laisser aller a une folie bucolique...envie de partir avec toi la ou le plaisir nous emmenera...me suivras tu dans ma folie ? sourire
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